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Le groupe biélorusse Mission Jupiter s'envole avec 'Bittersweet (Love Song)' avant la sortie de leur nouvel album 'Aftermath'

  • Photo du rédacteur: Megan Routledge
    Megan Routledge
  • 24 mai
  • 2 min de lecture

Mission Jupiter


Issus de Minsk, en Biélorussie, Mission Jupiter ont longtemps laissé entrevoir leur potentiel à devenir une force internationale dans le metal alternatif et le rock progressif. Avec déjà deux albums très bien accueillis à leur actif, le groupe a affiné son son et sa vision à la perfection — et en la puissante chanteuse Kate Varsak, ils ont trouvé la pièce manquante. Son arrivée, avant la sortie de leur troisième album intitulé « Aftermath », a marqué le début d’une nouvelle ère pour le groupe, et le résultat est tout simplement palpitant.


Ils dévoilent « Bittersweet (Love Song) », le dernier single avant la sortie de l’album — et c’est un magnifique exemple de la grandeur atmosphérique et de la portée émotionnelle de Mission Jupiter.


« C’est l’histoire d’une femme qui imagine son homme idéal et visualise leur relation romantique », explique le groupe. « Elle ne l’a pas encore trouvé, mais elle a déjà des papillons dans le ventre. Quel sentiment inspirant ! »


La mélodie scintillante et les paroles poignantes du morceau capturent parfaitement l’essence de cette attente fébrile. Au fil de la chanson, la voix de Varsak — pleine de désir et de vulnérabilité — s’élève au-dessus d’un fond d’instrumentation luxuriante, ponctuée par un solo de guitare enflammé qui injecte une ultime poussée d’énergie.


Ce n’est pas seulement une chanson d’amour ; c’est un témoignage de la capacité du groupe à créer une musique à la fois intime et universelle. L’alternance d’atmosphères sombres et de mélodies lumineuses crée une expérience immersive à laquelle il est difficile de résister.


« Aftermath », prévu pour le 20 juin, promet d’être l’œuvre la plus ambitieuse et la plus gratifiante du groupe à ce jour. C’est un album qui résonnera auprès des amateurs de rock alternatif et hard rock, de metal progressif, et même de ces hymnes crossover dignes de l’Eurovision.


L’inclusion de titres tels que « Jak Spyniajecca Bol’ » — une pièce envoûtante enregistrée dans la langue natale du groupe, le biélorusse, et traduite par « Comment la douleur s’arrête » — démontre encore davantage l’engagement sans peur de Mission Jupiter à tisser des fils musicaux divers en une tapisserie riche et cohérente.


Ce qui ressort de ces nouvelles chansons, c’est un groupe pleinement maître de ses pouvoirs créatifs, fusionnant sans effort ambiances, textures et mélodies exaltantes. Mission Jupiter ont toujours laissé entrevoir leur grandeur — aujourd’hui, avec « Aftermath », ils sont prêts à la revendiquer.


Si « Bittersweet (Love Song) » en est une indication, cet album laissera les auditeurs sous le charme — un voyage épique qui confirme Mission Jupiter comme l’un des groupes les plus excitants et émotionnellement marquants à émerger d’Europe de l’Est ces dernières années.

Préparez-vous à être emporté.



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